Dans la mythologie, j’aime croire que Narcisse s’éprend des mouvements de son reflet et non pas de l’image figée de lui même. Il soulignerait ainsi la fascination qui s’exerce, à observer les variations de soi, en éternelle évolution.

Un reflet de soi qui n’est jamais gravé dans le marbre mais empreint de nos ressentis, modelé par nos émotions, ou déformé par nos fantasmes. Il nous inviterait ainsi à nous rencontrer, sentir les fluctuations de l’âme, et faire s’épanouir nos fleurs intérieures.